James Coignard / Peintre français de renommée internationale

James Coignard (1925-2008) est un peintre, céramiste, graveur et sculpteur français qui a mené une carrière artistique itinérante. Il est considéré comme une figure très influente des beaux-arts modernes.
Coignard, né à Tours, décide d'étudier à l'École des Arts Décoratifs de Nice, et de la céramique dans un atelier à Paris, entre 1948 et 1951, après quelques années comme fonctionnaire.
Avec l'aide de son ami Marchand des Raux, il réalise sa première exposition à Beaulieu-sur-mer où il rencontre Georges Braque, Henri Matisse et Marc Chagall.

En 1950, il rencontre Paul Hervieu, ce qui l'amène à une longue collaboration avec sa galerie de Nice et également à faire partie de nombreux cercles artistiques, nationaux et internationaux, notamment en Scandinavie. Au cours des années soixante, l'amitié avec l'artiste Henri Goetz influence grandement la carrière de graveur de Coignard, l'initiant aux nouvelles techniques de gravure au carborundum.

Cela deviendra le centre de sa démarche, même si dans le passé il s'est intéressé à de nombreux médiums comme la peinture, la sculpture sur verre, etc.

En 1958, lors d'un voyage à travers l'Espagne, Coignard est influencé par le travail de l'artiste espagnol Clave, qui deviendra plus tard son ami. Il s'est abstenu d'utiliser comme d'habitude uniquement des couleurs pures et claires, et c'est ainsi qu'une nouvelle direction a émergé, qui a eu un impact important sur son travail futur.

Entouré de ses amis artistes tels que Borsi, Papart, Goetz, Boumester, Baboulene, Chaput, Marchand de Raux et d'autres, Coignard a développé une philosophie plus profonde de son travail.
Par la suite, il participe à de nombreuses collaborations avec des galeries et des publications illustrées du monde entier. Pour ne citer qu'eux : le Cabinet des Estampes de la Bibliothèque Nationale de Paris, le British Museum...
Son chemin mène à l'abstrait, constitué de taches aléatoires, de formes régulières, de caractères typographiques, à l'écoute du monde qui l'entoure tant de laideur, tant de beauté.

**Artistica est l'éditeur exclusif de toutes ses œuvres graphiques.**

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**James Coignard**

James Coignard (1925-2008) est un peintre français, un céramiste, un graveur et un sculpteur qui a eu une carrière artistique itinérante. Il est considéré comme étant une figure très influente dans les beaux arts modernes.
Coignard, née à Tours, décide d'étudier à l'École d'Arts Décoratifs à Nice, et la céramique dans un atelier à Paris, entre 1948 et 1951 , après quelques années comme fonctionnaire.
Avec l'aide de son ami Marchand des Raux, il réalise sa première exposition à Beaulieu-sur-mer où il rencontre Georges Braque, Henri Matisse et Marc Chagall.

En 1950, il rencontre Paul Hervieu, ce qui mènera à une longue collaboration avec sa galerie à Nice et aussi à faire partie de beaucoup de cercles artistiques, nationaux et internationaux, particulièrement en Scandinavie. Pendant les années soixante, l'amitié avec l'artiste Henri Goetz influencera énormément la carrière de Coignard, lui présentant de nouvelles techniques dans la gravure en utilisant le carborundum.

Ceci deviendra le centre de sa démarche, bien que dans le passé il se soit intéressé à beaucoup de médiums comme, la peinture, la sculpture en vitre, etc.

En 1958, en voyageant à travers l'Espagne, Coignard a été influencé par le travail de l'artiste espagnol Clave, qui devient plus tard son ami. Il s'est abstenu d'utiliser comme d'habitude seulement des couleurs pures et claires, et ainsi une nouvelle direction a émergé, qui a eu un fort effet sur son travail futur.
Entouré par ses amis artistes tels que Borsi, Papart, Goetz, Boumester, Baboulène, Chaput, Marchand de Raux et d'autres, Coignard a développé une philosophie plus profonde de son travail.

Par la suite, il participe à de nombreuses collaborations avec des galeries et des publications illustrées tout autour du globe. Pour nommer quelques-uns : le Cabinet des Estampes de la Bibliothèque Nationale de Paris, le British Museum...
Son chemin le mène à l'abstrait, se composant de taches aléatoires, de formes régulières, de caractères typographiques, à l'écoute du monde qui l'entourait de tant de laideur, de tant de beauté.